Pourquoi chercher un VPN gratuit pour Linux en 2025 ?

Si tu es sur Linux, tu fais dĂ©jĂ  partie de la minoritĂ© qui aime comprendre ce qu’il utilise. Du coup, lĂącher un abonnement Ă  10 € / mois pour un VPN n’est pas forcĂ©ment ta prioritĂ©.

Les cas typiques qu’on voit chez les utilisateurs Linux en France :

  • tu bosses souvent sur des Wi‑Fi publics (cafĂ©s, coworking, campus) et tu n’as pas envie qu’on renifle tes connexions SSH ou tes mails ;
  • tu veux un tunnel propre pour te connecter Ă  ton serveur, ton NAS, ou ton bureau Ă  distance ;
  • tu cherches Ă  contourner quelques gĂ©o‑blocages lĂ©gers, sans forcĂ©ment binge‑watcher du Netflix US 4K toute la nuit ;
  • tu veux juste chiffrer ton trafic parce que tu as lu que mĂȘme avec le GPS coupĂ©, des boĂźtes comme Google arrivent encore Ă  suivre ta localisation via d’autres signaux, comme le rappelle un article rĂ©cent de Leak.

ProblĂšme : la plupart des guides “VPN gratuits” sont soit ultra commerciaux, soit trĂšs orientĂ©s Windows/Android. Ici on va se concentrer sur Linux, sur ce qui marche vraiment, avec un Ɠil de power‑user.

Au programme :

  • un rappel clair de ce que fait (et ne fait pas) un VPN sous Linux ;
  • les risques et limites des VPN gratuits ;
  • une sĂ©lection de logiciels VPN gratuits qui tiennent la route sous Linux, et comment les utiliser ;
  • quand ça vaut le coup de basculer sur un VPN payant type NordVPN, ProtonVPN, etc.

Rappel express : Ă  quoi sert un VPN sous Linux, concrĂštement ?

Sous Linux comme ailleurs, un VPN (Virtual Private Network) fait trois choses :

  • chiffre ton trafic entre ta machine et le serveur VPN ;
  • masque ton IP publique derriĂšre celle du serveur VPN ;
  • te fait transiter ailleurs (en France, en Europe, aux US, etc.), pratique pour les gĂ©o‑blocages.

Ce que ça t’apporte :

  • sur un Wi‑Fi public, mĂȘme si quelqu’un monte un faux hotspot pour sniffer les connexions – ce qui a dĂ©jĂ  conduit Ă  des condamnations comme le rappelle un article de cafef – ton trafic chiffrĂ© reste illisible ;
  • ton FAI ne voit plus prĂ©cisĂ©ment quels sites tu visites, juste que tu causes avec un serveur VPN ;
  • certains services de streaming ou de VOD voient l’IP du serveur VPN au lieu de la tienne (mĂȘme si leurs bloqueurs deviennent de plus en plus agressifs).

Et ce que ça ne fait PAS :

  • ça ne te rend pas “invisible” : si tu es loggĂ© sur Google, Meta, etc., ils savent toujours qui tu es ;
  • ça ne te protĂšge pas d’un navigateur truffĂ© d’extensions douteuses, ni d’un compte mail compromis ;
  • ça ne remplace pas un bon paramĂ©trage de ton Linux (pare‑feu, mises Ă  jour, clĂ©s SSH, etc.).

VPN gratuits : avantages réels et grosses limites

Soyons francs : un bon VPN coĂ»te de l’infra. Donc si c’est totalement gratuit, quelqu’un paie d’une maniĂšre ou d’une autre.

Les VPN gratuits “sĂ©rieux” (ProtonVPN, Windscribe, PrivadoVPN, TunnelBear
) se financent via leurs offres payantes. Les limites de leurs versions free sont lĂ  pour t’inciter Ă  upgrader, pas pour te voler tes donnĂ©es.

Les limites typiques sous Linux :

  • dĂ©bit bridĂ© : bon pour du surf, moyen pour la 4K ;
  • quota de data (souvent 5 Ă  10 Go / mois, parfois illimitĂ© mais plus lent) ;
  • peu de pays disponibles (souvent 3 Ă  5) ;
  • moins de fonctions avancĂ©es (split tunneling, IP dĂ©diĂ©e, serveurs optimisĂ©s streaming/P2P, etc.).

Les risques, eux, viennent surtout :

  • des VPN “gratuits” obscurs sans modĂšle Ă©conomique clair ;
  • des extensions de navigateur pseudo‑VPN qui ne chiffrent qu’une partie du trafic ;
  • de services qui revendent tes donnĂ©es de navigation Ă  des courtiers publicitaires.

À l’inverse, certains acteurs connus comme ProtonVPN font partie des services mis en avant dans les grosses opĂ©rations de promos de fin d’annĂ©e (Engadget cite par exemple des remises allant jusqu’à ‑75 % sur ProtonVPN et d’autres gros VPN). Ça donne une indication : ils gagnent leur vie avec le premium, pas avec tes donnĂ©es.


Les meilleurs logiciels VPN gratuits utilisables sous Linux en 2025

Voici une sélection pensée pour un usage en France, avec critÚres :

  • client ou configuration facilement utilisable sous Linux ;
  • politique de confidentialitĂ© correcte ;
  • version vraiment utilisable en gratuit, pas juste 24 h d’essai.

Attention : ce n’est pas un classement absolu, mais une short‑list pour t’éviter de te perdre dans 30 services douteux.

1. ProtonVPN Free – le plus propre pour Linux

Pourquoi il ressort souvent en #1 cÎté Linux :

  • client Linux officiel en ligne de commande, maintenu, intĂ©gration dĂ©cente (Debian/Ubuntu, Fedora, etc.) ;
  • data illimitĂ©e en version gratuite (mais dĂ©bit rĂ©duit aux heures de pointe) ;
  • infra opĂ©rĂ©e par Proton, dĂ©jĂ  connu pour Proton Mail.

En pratique, ProtonVPN Free est top pour :

  • sĂ©curiser tes connexions SSH / RDP / admin web en mobilitĂ© ;
  • chiffrer ton trafic quand tu bosses sur un Wi‑Fi public ;
  • du surf gĂ©nĂ©ral sans te prendre la tĂȘte.

Moins adapté pour :

  • contourner systĂ©matiquement les gĂ©o‑blocages streaming ;
  • faire du gros tĂ©lĂ©chargement H24.

2. Windscribe Free – flexible, pas parfait

Windscribe n’a pas toujours eu un client Linux natif aussi soignĂ© que sur Windows/Mac, mais tu peux :

  • utiliser leurs configs OpenVPN / WireGuard sous Linux sans souci ;
  • gĂ©rer plusieurs localisations dans la version gratuite (avec ~10 Go de data / mois si tu verifies ton mail, plus quelques bonus).

Intéressant si tu veux :

  • tester tranquillement un VPN multi‑plateforme ;
  • te faire un petit set de profils OpenVPN/WireGuard rĂ©utilisables dans NetworkManager.

Le quota de data limite par contre le streaming.

3. PrivadoVPN Free – simple, data correcte

Dans les infos fournies, on voit seulement le prix du plan payant (11,95 $ / mois), mais PrivadoVPN a aussi une offre gratuite relativement connue :

  • apps officielles surtout sur les OS grand public, mais configs OpenVPN rĂ©cupĂ©rables et utilisables sous Linux ;
  • data gratuite typiquement limitĂ©e (dans les 10 Go / mois, Ă  vĂ©rifier sur leur site au moment oĂč tu lis).

Usage recommandé :

  • backup pour sĂ©curiser ponctuellement un rĂ©seau douteux ;
  • complĂ©ment si tu alternes plusieurs VPN free pour rĂ©partir le quota.

4. TunnelBear – super user‑friendly, mais data minuscule

TunnelBear est rĂ©putĂ© pour ĂȘtre ultra simple, avec un positionnement trĂšs “grand public”. L’extrait fourni le rappelle : 500 Mo de data par mois en gratuit, donc :

  • oublie le streaming, le P2P, les grosses mises Ă  jour via VPN ;
  • par contre pratique pour que quelqu’un peu Ă  l’aise teste rapidement ce qu’est un VPN.

Sous Linux, tu dois passer par des configs OpenVPN plutĂŽt que par un client graphique officiel. C’est un peu plus roots, mais faisable si tu es dĂ©jĂ  Ă  l’aise avec le terminal.

5. OpenVPN / WireGuard “à la main” – pour les bricoleurs

Sous Linux, tu peux aussi :

  • installer le client OpenVPN ou WireGuard (open source, packagĂ© partout) ;
  • rĂ©cupĂ©rer les fichiers de conf (.ovpn, wg0.conf, etc.) d’un service VPN gratuit ou de ton propre serveur.

Avantages :

  • tu gardes la main sur la config rĂ©seau ;
  • tu peux auditer les fichiers, les routes, les DNS poussĂ©s, etc.

Inconvénients :

  • courbe d’apprentissage plus raide ;
  • pas de belles interfaces “one‑click”, c’est toi et le terminal.

Tableau comparatif rapide des VPN gratuits pour Linux

đŸ§‘â€đŸ’» VPN🐧 Support Linux💰 Offre gratuite📊 Limites principales🚀 Usage idĂ©al
ProtonVPN FreeClient CLI officiel, dĂ©pĂŽts LinuxData illimitĂ©eVitesses rĂ©duites, peu de paysSurf quotidien, Wi‑Fi publics
Windscribe FreeConfigs OpenVPN / WireGuard~10 Go/mois (variable)Quota data, pas tous les serveursUsage occasionnel, multi‑device
PrivadoVPN FreeConfigs OpenVPN utilisablesQuota limitéVitesse & data sous conditionsSécuriser un hotspot ponctuellement
TunnelBear FreeConfigs OpenVPN manuelles500 Mo/moisData minuscule, pas de P2P massifDécouverte, tests rapides
OpenVPN / WireGuard “nu”IntĂ©gration native LinuxDĂ©pend du serveur utilisĂ©Config manuelle, pas de supportAdmins, devs, autodidactes

En gros : ProtonVPN Free est le plus simple pour un usage quotidien sous Linux, Windscribe/Privado complĂštent bien pour de l’occasionnel, et OpenVPN/WireGuard “nus” restent l’option prĂ©fĂ©rĂ©e des barbus qui aiment tout contrĂŽler.


Comment bien configurer un VPN gratuit sous Linux (sans s’arracher les cheveux)

1. Privilégier les dépÎts officiels et paquets signés

Sur une distro type Ubuntu, Debian, Fedora :

  • ajoute le repo officiel du fournisseur (ProtonVPN, par exemple) ;
  • Ă©vite les .deb rĂ©cupĂ©rĂ©s sur des sites tiers obscurs ;
  • vĂ©rifie la signature GPG si le fournisseur la documente.

MĂȘme logique qu’avec les stores d’apps : mieux vaut rester dans la chaĂźne officielle.

2. Gérer le kill switch et les DNS leaks

Un VPN qui fuit ton IP au moindre micro‑coupure ne sert pas à grand‑chose.

Sous Linux tu peux :

  • utiliser le kill switch intĂ©grĂ© quand il existe (ProtonVPN CLI, par ex.) ;
  • sinon, configurer un pare‑feu (iptables/nftables) qui n’autorise la sortie Internet que via l’interface tun0/wg0 du VPN ;
  • forcer des DNS sĂ©curisĂ©s (ceux du VPN ou un service comme Quad9) dans ta config rĂ©seau, pour Ă©viter que tes requĂȘtes DNS repassent par ton FAI.

3. Éviter de mĂ©langer 5 VPN en mĂȘme temps

Installer 4 clients VPN diffĂ©rents + 3 plugins navigateur, c’est le meilleur moyen de :

  • pĂ©ter la pile rĂ©seau ;
  • ne plus savoir quel tunnel est actif ;
  • provoquer des conflits de routes et de DNS.

Mon conseil :

  • garde 1 VPN principal (mĂȘme gratuit) ;
  • utilise 1 ou 2 services en backup via configs OpenVPN/WireGuard, mais pas plus ;
  • documente dans un petit fichier Markdown comment tu les lances / arrĂȘtes, histoire de ne pas te perdre dans six mois.

4. Penser “modùle de menace”

Pose‑toi la question : “Je me protùge de qui, et pour quoi faire ?”

  • Si c’est juste pour chiffrer le Wi‑Fi de la fac → un bon VPN gratuit + un navigateur bien configurĂ© suffisent.
  • Si tu veux rĂ©duire le profilage pub (Google, etc.), rappelle‑toi que mĂȘme avec GPS coupĂ© ils peuvent estimer ta position via plusieurs signaux, comme expliquĂ© dans l’article de Leak : ton VPN aide, mais ne rĂ©sout pas tout.
  • Si tu veux du streaming / P2P sĂ©rieux et des performances stables → lĂ , un service payant reconnu est franchement plus adaptĂ©.

Quand (et pourquoi) passer Ă  un VPN payant ?

En fin 2025, il y a une raison simple : les prix se sont effondrés avec les deals longs termes.

Des mĂ©dias comme Engadget ou TechRadar listent des offres de Cyber Monday avec jusqu’à ‑75 % sur ProtonVPN, NordVPN, etc.. En gros, tu te retrouves avec :

  • 2–3 € / mois sur 2 ans pour un gros VPN ;
  • souvent quelques mois gratuits en bonus.

Pour toi, Linuxien :

  • tu gagnes des clients mieux intĂ©grĂ©s (CLI propre, parfois GUI, scripts) ;
  • des serveurs optimisĂ©s streaming / P2P ;
  • souvent plus d’options “geek” : MultiHop, Tor over VPN, IP dĂ©diĂ©e, split tunneling, etc.

NordVPN, par exemple, propose :

  • un support Linux en ligne de commande ;
  • des serveurs optimisĂ©s pour le streaming et le tĂ©lĂ©chargement ;
  • une politique “no‑log” rĂ©guliĂšrement mise en avant dans les comparatifs.

Si tu passes ta vie en remote sur des Wi‑Fi un peu cracra, ou que tu fais beaucoup de streaming et de P2P, un VPN payant fiable devient vite un outil pro, pas un gadget.


MaTitie, c’est l’heure du SPECTACLE : pourquoi le VPN compte vraiment

On ne va pas se mentir : si tu lis ça, tu es dĂ©jĂ  plus avancĂ© que la moyenne. Mais aujourd’hui, entre :

  • les Wi‑Fi publics de plus en plus risquĂ©s (cf. les cas d’hotspots piĂ©gĂ©s rapportĂ©s par cafef) ;
  • le tracking massif (comme le rappelle l’article de Leak Ă  propos de la localisation ) ;
  • et les plateformes de streaming qui coupent des fonctions pratiques, comme l’a encore montrĂ© Netflix selon Clubic rĂ©cemment,

avoir un bon VPN n’est plus juste “pour regarder un catalogue US en douce”, c’est un vrai outil de confort et de confidentialitĂ©.

Sur Top3VPN avec MaTitie, celui qu’on recommande le plus souvent, surtout quand il est en promo, c’est NordVPN :

  • rapide, donc idĂ©al mĂȘme si tu regardes tes sĂ©ries en 4K sur ton Ă©cran 4K flambant neuf achetĂ© en promo Cyber Monday ;
  • clients Linux, Windows, Android, iOS, donc la mĂȘme protection partout ;
  • politique de logs stricte, bonnes notes dans les comparatifs sĂ©rieux.

Si tu veux tester quelque chose de plus costaud qu’un VPN gratuit sans prendre de risque financier, c’est un bon candidat.

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MaTitie touche une petite commission si tu passes par ce bouton, ça ne change rien à ton prix et ça aide à financer nos tests.


FAQ – Vos questions de Linuxiens sur les VPN gratuits

Un VPN gratuit sous Linux est-il suffisant pour télécharger, streamer et rester anonyme ?

Pour sĂ©curiser du surf classique, oui, certains font trĂšs bien l’affaire. Pour du gros streaming et du P2P rĂ©gulier, non : tu vas vite taper les limites de data et de dĂ©bit, et les serveurs gratuits sont souvent les plus saturĂ©s. Et cĂŽtĂ© anonymat “sĂ©rieux”, il faut une stack plus large (VPN fiable, bon navigateur, gestion des comptes, etc.), pas juste un tunnel low‑cost.

Pourquoi on voit souvent NordVPN et ProtonVPN dans les articles de promos de fin d’annĂ©e ?

Parce que ce sont des acteurs majeurs : ils ont les moyens de casser les prix sur des pĂ©riodes comme le Black Friday / Cyber Monday. Engadget cite par exemple des remises jusqu’à ‑75 % sur ProtonVPN et de belles rĂ©ductions sur NordVPN, ExpressVPN et d’autres. Ça en fait des options payantes mais abordables, surtout si tu Ă©tales sur 2 ans.

Linux n’est‑il pas dĂ©jĂ  “suffisant” niveau sĂ©curitĂ© sans VPN ?

Linux est plus robuste que beaucoup d’autres systĂšmes pour tout ce qui est gestion des droits, malwares, etc., mais ça ne joue presque pas sur la confidentialitĂ© rĂ©seau : ton FAI, les hotspots publics, les trackers en ligne ne se soucient pas vraiment de ton OS. Un VPN reste pertinent pour chiffrer ton trafic et casser une partie du profilage, mĂȘme si tu es sur la distro la plus secure du monde.


Pour aller plus loin (lectures conseillées)

  • “Exclusive: NordVPN betters its Black Friday deal with 75% Cyber Monday special” – TechRadar (01/12/2025)
    Lire l’article

  • “On a testé Gemini 3, la nouvelle IA surpuissante de Google : voici notre avis” – 01net (01/12/2025)
    Lire l’article

  • “App Ops : auditer et contrôler les permissions de votre téléphone” – Ouest-France / Android MT (01/12/2025)
    Lire l’article


Dernier conseil : teste par toi‑mĂȘme (avec ou sans NordVPN)

Si tu es encore hésitant :

  1. Commence avec un VPN gratuit propre (ProtonVPN Free, Windscribe Free).
    • Tu vois ce que ça change dans ton quotidien sous Linux.
  2. Si tu sens les limites (dĂ©bit, data, streaming), profite d’un essai remboursable chez un gros acteur.
    • NordVPN, par exemple, met en avant une garantie de 30 jours satisfait ou remboursĂ© : tu peux le tester sur ta distro, ton smartphone, ta TV, et voir si la diffĂ©rence vaut le prix pour ton usage rĂ©el.

L’idĂ©e, ce n’est pas de “prendre un VPN parce que tout le monde le fait”, mais de trouver le bon Ă©quilibre entre gratuitĂ©, confort, performances et confidentialitĂ© pour ton profil d’utilisateur Linux.

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Avertissement

Cet article mélange des informations publiques, notre expertise VPN & Linux et une assistance par intelligence artificielle. Il est fourni à titre informatif uniquement : vérifie toujours directement sur les sites officiels des fournisseurs les prix, fonctionnalités et conditions avant de prendre une décision sensible.